Voilà c'est noël et c'est 2009, presque 2010 ! Cette expérience de blog était très intéressante, mais je n'ai plus envie de poster mes textes sur internet.
Je suis passée à autre chose. Ce blog aura duré le temps d'une histoire d'amour ou presque. Je ne le ferme pas, car c'est un bon moyen de conserver mes textes mais il sera inactif.
25/12/2009
17/12/2009
De la poésie et du vent
Comme d'autres, il avait remarqué
Que j'étais bavarde de sourires
Que mes lèvres montraient par milles streap tease
Mes dents alignées sur une frise
Bien sûr c'est ce qu'il préférait
Il n' aimait que mon sourire.
Le jeune homme soudain se décomposent
Car tout n'a pas à jamais l'allure des roses
Tout n'est pas tout rouge ou tout blanc
Le regard inquiet et perdu
Voit, observe, et ouvre grand
les yeux qui ne me reconnaissent plus
Que tu pouvais donc me haire
Lorsque j'arrêtais de sourire!
Alors je m'excusais pour que tu oublies
Le visage caché, entrevu.
Je dis que je t'aime et puis je...souris.
Ce n'est pas le seul à l'avoir vu
Le sans sourire que j'ai en moi
Il a eu peur.Je n'en veux pas à ce garçon,
Sans mes gencives et mes grandes dents
Sans ma bouche tirée jusqu'en haut du front
Il n'y a plus que de la poésie et du vent
De la poésie, du vent et bien sûr moi.
Que j'étais bavarde de sourires
Que mes lèvres montraient par milles streap tease
Mes dents alignées sur une frise
Bien sûr c'est ce qu'il préférait
Il n' aimait que mon sourire.
Le jeune homme soudain se décomposent
Car tout n'a pas à jamais l'allure des roses
Tout n'est pas tout rouge ou tout blanc
Le regard inquiet et perdu
Voit, observe, et ouvre grand
les yeux qui ne me reconnaissent plus
Que tu pouvais donc me haire
Lorsque j'arrêtais de sourire!
Alors je m'excusais pour que tu oublies
Le visage caché, entrevu.
Je dis que je t'aime et puis je...souris.
Ce n'est pas le seul à l'avoir vu
Le sans sourire que j'ai en moi
Il a eu peur.Je n'en veux pas à ce garçon,
Sans mes gencives et mes grandes dents
Sans ma bouche tirée jusqu'en haut du front
Il n'y a plus que de la poésie et du vent
De la poésie, du vent et bien sûr moi.
22/11/2009
Le départ des monstres
Sous le lit une culotte et une chaussette,
Mais où sont passées les ombres mouvantes?
Où sont les loups, les serpents à sonnette
A cloches dorées, cloches tintinnabulantes
Les grands yeux rouges qui brillent dans le noir,
Se sont cachés sous des paupières caméléon
Comme les fantômes dans les placards
Se sont pliés en draps blancs de coton
Ne souhaites-tu plus te faire manger?
Avalée puis dévorée par... l'obscurité.
Les souffles, chuchotements et murmures,
Qui te sifflaient d'impossibles secrets
Regrettes-tu le bruit qui traversait les murs?
Ton cri terrifié qui s'échappait
La chaleur de ce qui est grand et velu,
Les mains se glissant sous la couette
Les sons allant du strident à l'aiguë
Les mots qui te rendaient muette
Maintenant que la veilleuse est éteinte,
Que le noir ne te fais plus peur
Ne recherches-tu plus l'étreinte
Des monstres qui te donnaient des sueurs?
Mais où sont passées les ombres mouvantes?
Où sont les loups, les serpents à sonnette
A cloches dorées, cloches tintinnabulantes
Les grands yeux rouges qui brillent dans le noir,
Se sont cachés sous des paupières caméléon
Comme les fantômes dans les placards
Se sont pliés en draps blancs de coton
Ne souhaites-tu plus te faire manger?
Avalée puis dévorée par... l'obscurité.
Les souffles, chuchotements et murmures,
Qui te sifflaient d'impossibles secrets
Regrettes-tu le bruit qui traversait les murs?
Ton cri terrifié qui s'échappait
La chaleur de ce qui est grand et velu,
Les mains se glissant sous la couette
Les sons allant du strident à l'aiguë
Les mots qui te rendaient muette
Maintenant que la veilleuse est éteinte,
Que le noir ne te fais plus peur
Ne recherches-tu plus l'étreinte
Des monstres qui te donnaient des sueurs?
13/11/2009
Et l'on pourra se quitter
"Et l'on pourra se quitter
et toujours se retrouver
sans jamais tomber à l'eau
à bord de notre rafiot" (Coquelicot)
Et l'on pourra se quitter,
Et toujours se retrouver
Même au delà des mers
Au delà de nous et nos chairs
Y as-tu cru un instant
A ces paroles d'enfant ?
Pensais-tu me chercher,
A la fin de nos derniers baisers?
Mon amour, tu avais raison
On est libre mon mignon
Et l'on pourra se quitter,
Sans se perdre, ni se noyer.
Puis voguer, dans le tango du temps
Aimer, et aimer encore d'autres gens,
Devenir ce qu'on est , devenir différents,
Et voguer, sans mesure, voguer, voguer
Puis toujours se retrouver,
Dans les mers du passé,
A bord notre rafiot,
Ou l'épave du bateau.
Moi j'irais en tout cas,
Oui moi j'irais là bas,
Quand ma tête le voudra
Je retournerais avec toi
Comme je m'en vais parfois
Sentir les pluies d'été, le bleu du ciel
Les neiges et les feux de bois
La chaleur des rires éternels
Comme je m'en vais parfois
J'irais chercher tes bras,
Les paroles lancées comme ça
Susurrée par le son ta voix
Et l'on pourra se quitter
Et toujours se retrouver
Et l'on pourra se quitter
Et toujours se retrouver.
et toujours se retrouver
sans jamais tomber à l'eau
à bord de notre rafiot" (Coquelicot)
Et l'on pourra se quitter,
Et toujours se retrouver
Même au delà des mers
Au delà de nous et nos chairs
Y as-tu cru un instant
A ces paroles d'enfant ?
Pensais-tu me chercher,
A la fin de nos derniers baisers?
Mon amour, tu avais raison
On est libre mon mignon
Et l'on pourra se quitter,
Sans se perdre, ni se noyer.
Puis voguer, dans le tango du temps
Aimer, et aimer encore d'autres gens,
Devenir ce qu'on est , devenir différents,
Et voguer, sans mesure, voguer, voguer
Puis toujours se retrouver,
Dans les mers du passé,
A bord notre rafiot,
Ou l'épave du bateau.
Moi j'irais en tout cas,
Oui moi j'irais là bas,
Quand ma tête le voudra
Je retournerais avec toi
Comme je m'en vais parfois
Sentir les pluies d'été, le bleu du ciel
Les neiges et les feux de bois
La chaleur des rires éternels
Comme je m'en vais parfois
J'irais chercher tes bras,
Les paroles lancées comme ça
Susurrée par le son ta voix
Et l'on pourra se quitter
Et toujours se retrouver
Et l'on pourra se quitter
Et toujours se retrouver.
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