De la peur insondable
Du bonheur dégoutant
De l'écriture malsaine
De l'encre sanguinaire
Qui sperme sur ces mots
Ne soit pas écœuré
La nausée est mauvaise .
Du sourire de beauté
Qui s'avère un mensonge
De la laideur que je crache
Du crachat que j'avale
Dans sa liqueur jaune
Comme j'avale
la polution de l'air
Le souffle des hommes
La bouffe grasse, et plastifiée
Sans dégoût.
De l'obscure insondable
De mon humanité répugnante
De ma contrainte
Et de ma liberté
De ma liberté contraignante
aussi d'ailleurs, voilà!
Je baise tout!
Et si cela te plaît
Méfie toi, de mes baisers.
27/12/2007
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